Jeudi 24 novembre 2016 au dimanche 27 novembre
Parc National Torres del Paine
Tout d’abord, avant de randonner, passons à la caisse ! L’entrée du parc, le bateau, les refuges, tout est exorbitant.
Le nombre de randonneurs est important bien qu’on ne soit pas en pleine saison. Beaucoup de jeunes, beaucoup de femmes seules, et tout ça avec des sacs énormes. On est ridicule avec nos 35 & 60 litres.
Les refuges sont sympas mais bruyants. La musique est omniprésente et les Américains (du Nord) parlent fort…et comme ils sont nombreux !! On a partagé notre dortoir d’abord avec des Belges , une Japonaise puis avec des Allemands et enfin des Australiens et des Américains.
Toutes les nationalités se croisent et les échanges sympathiques sont nombreux…en Anglais…OF COURSE .
Table commune évidemment avec tout ce monde-là. On a bien mangé partout mais dense : riz, polenta…
Temps très changeant…Le premier jour, tantôt chaud, tantôt froid, vent et vagues de gouttelettes, tout ça en l’espace de vingt minutes et le cycle recommence pour vingt minutes…d’où des effets de toilette incessants. Le deuxième et troisième jour ont été chauds pour la saison (Quand est -ce qu’on met les bonnets emportés !?). Le quatrième jour a été assez beau mais quel vent ! On est revenu couvert de poussière !
Remarquons que les crocs de Philippe n’ont pas trouvé place dans le sac loué (Un tantinet usagé le- dit sac…)
Trajet en bateau pour rejoindre notre troisième refuge, superbes vues sur les Cuernos , sommets aux alentours de 3000 mètres.
Entassement des sacs sur le bateau, ça… c’est de l’organisation !
On ne dirait pas en voyant le glacier Grey et les sommets enneigés mais on est à moins de 100 mètres d’altitude.
Montée vers le refuge Chileno.
Le refuge est ravitaillé par des chevaux deux fois par jour.
Le camping du refuge
Notre dernier dortoir
Superbe vue sur les Torres, le mirador pour les contempler est à 886 mètres. On y accède par un sentier un peu difficile.
Babette essaie de s’envoler.
Le must à avoir ici (C’est une demoiselle qui porte !)
Nos refuges
Toujours des oies Cauqueen
Les Cuernos
Hic ! On a mal estimé la somme en espèce qu’il faudrait pour les quatre jours. Les prix au Chili ne sont jamais affichés. On ne peut quasiment pas payer en carte ! On a été un peu à court et il a fallu faire des économies sur la bière !!